Se "mettre à date"

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Me “mettre à jour” dans mon travail,
Au bureau ou à la maison,
Ne me rapporte rien qui vaille,
Puisque je parle de “projection”.

Du retard dans le quotidien
Me fait me culpabiliser
En dedans, le stress me maintient,
Encore un peu... avant de sauter!

Puis un jour, je me “mets à date”,
Je m’énerve, je travaille tellement,
Je grogne et même parfois... j’éclate,
Et je termine TOUT finalement!

J’en profite pendant quelques heures,
Ça va même jusqu’à des journées,
Mais quelqu’un vient à moi en pleurs...
Je m’offre... alors... de lui aider.

Je travaille cool car j’ai du temps,
D’ajouter un peu à ma charge,
Pour le cash et pour le rendement,
Rembourser prêt, impôt et Marge.

Comme j’en ai un peu ajouté,
À mon travail habituel,
Je me trouve encore débordée...
Me “mettre à date” sera essentiel.

À force de me “mettre à jour”,
J’oublie de vivre mon quotidien,
L’instant présent est sans amour,
J’suis pas là, j’veux être libre... demain.

Et à vouloir être libre... demain,
Négligeant de vivre l’instant présent,
J’oublie demain pour le lendemain,
La joie, l’énergie manquent vraiment.

Vous comprendrez que mon Vieux Sage
M’a certes inspiré tout ceci,
Car ça ressemble à ses messages,

Correspond ... un peu... à ma vie!

J’ai écrit ce poème en 2005…

Me croirez-vous, il vient encore me chercher aujourd’hui et je le publie autant pour moi que pour vous.

Il y a quelques temps, je me suis sentie débordée par tout ce que j’avais à faire. Finalement, j’ai réussi à me « mettre à date » il y a une semaine… Et bien voilà, je m’offre un gros rhume… qui m’oblige à prendre soin de moi et à « m’arrêter » au lieu de chercher plus à faire pour aider.

Lorsque je travaillais, c’est ainsi que je réagissais. Après un gros « boum » de travail… c’était plus tranquille, et je tombais malade.

La retraite ne règle rien… on reste avec les mêmes bibittes… si on a à les régler.

Je relis le message … il me parle tout autant aujourd’hui.


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Laisse-toi choyer...

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“Laisse-toi choyer” dit mon Vieux Sage,
Profite des bontés de la vie,
Elle te les offre sur un nuage,
Ne laisse pas transformer en pluie.

Apprendre à recevoir relance,
Ta capacité de vivre ouvert,
Pousse la porte de Jouvence,
Vers l’abondance de l’Univers.

On te destine au bonheur,
Très célèbre même richissime,
Ouvre à la vie, ouvre ton coeur,
A recevoir avec estime.

Si l’emballage te déplaît,
Regarde au moins à l’intérieur,
Ton plaisir vite se comblerait,
De là, l’intention du donneur.

Accepte avec discernement,
Les biens pour ton évolution,
Pour un refus, prends tout ton temps,
“Pourquoi cela, me l’offre-t-on?”

Comme le hasard n’existe pas,
Même cadeau paru insensé,
T’atteignant toi, à ce moment-là,
Mérite intermède à fureter.

Je bénis les futurs présents,
Dont la Vie voudra m’honorer,
Et j’accepterai en même temps,
Le mode d’emploi pour pacifier.



Je parle souvent de mon Vieux Sage, mais en fait c’est la partie sage de mon inspiration que j’ai appelée ainsi… pour conserver la proximité.

Souvent, je me rendais compte que la vie m’envoyait des cadeaux… mais d’une personne dont je ne voulais aucun présent, d’une couleur que je n’aimais pas ou toute autre raison.

Finalement, j’ai appris à recevoir (et j’apprends encore) et me suis rendu compte que ces barrières que l’on « imagine », une fois abaissées, ouvre à des cadeaux merveilleux.



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Réflexions de février

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Lorsque tu n'as pas obtenu

L'objet rêvé... dans le "ici",

Tu peux garder ton rêve maintenu

Ou tendrement le réviser.

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Dire un commentaire, exprimer
Ton opinion... quel soulagement !
Ça peut aussi te rappeler...
"comment taire" le nul, le blessant !

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Pense à toi maintenant et partout,

Avec sagesse, intégrité;

Habite dans TA vie et surtout

Laisse vivre les autres... pour respecter !

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L'amour... un remède efficace

Capable de guérir tous les maux,

De la tristesse, enlève la trace,

Attire à soi... le bon, le beau !

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